FAQ

Au centre Sagarmatha, la famille qui gère le centre accueille en priorité des enfants orphelins de père ou de mère. Mais il arrive aussi que des enfants de familles nombreuses ou très démunies soient pris en charge. Au centre Punarbal, les enfants sont tous orphelins et sont pris en charge à la demande de proches.

Oui. Même si tous les enfants sont issus de familles qui ont une situation financière précaire et qui n’arrivent pas à assumer l’éducation scolaire de l’enfant, elles sont libres de venir chercher l’enfant en tout temps. C’est arrivé dans de rares cas.

Oui, car dans la plupart des cas, les familles cherchent l’enfant une fois par an –  lors du Festival de Dasain –  afin de lui permettre de passer du temps avec ses proches.

Non, nous sommes tous volontaires. En comptant les membres du comité, environ vingt personnes donnent chaque année bénévolement un coup de main – ponctuel ou régulier – à notre association.

Les visites ont lieu en général une fois par an. Elles concernent les membres de notre comité ou de toute personne qui souhaite visiter les centres, en accord avec le personnel sur place. L’intervention des visiteurs est limitée à des jeux, animations et sorties avec les enfants.

Les centres sont gérés par du personnel local, entouré d’un comité népalais (“board”). Les centres sont placés sous la responsabilité du Ministère des affaires sociales du Népal.

Non, car nous estimons que la gestion au quotidien des enfants relève de la compétence et de la responsabilité des équipes sur place. Nous intervenons toutefois sur certaines orientations prioritaires, comme par exemple sur la nécessité de prendre en charge des filles et des garçons.

Dans l’idéal, il serait certes préférable d’aider les familles de ces enfants à subvenir à leurs besoins, afin que l’enfant ne soit pas séparé de ses proches. Un tel projet de développement rural ou d’aide à la création de revenus n’est toutefois ni dans nos objectifs, ni dans nos compétences. Dans le cas du centre Punarbal, les familles proches n’ont pas les moyens ni l’envie d’élever l’enfant. En l’absence d’alternative, notre soutien aux deux centres nous paraît donc entièrement justifié.

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